Fessée et régression pour la maman d’une famille recomposée

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il y a 1 an

Divorcée, une mère de famille ne parvient plus à vivre sa vie de femme. Elle surfe sur Fessestivites pour combler un peu ses fantasmes sur le monde de la fessée. Sur ce site de rencontre ultra contrôlé, elle parvient à faire connaissance avec un homme charmant et respectueux.

Malgré les aléas des gardes d’enfants, ils parviennent à se rencontrer et c’est le coup de foudre. Le soir même, fait une bêtise. Le daddy d’adoption lui donne une fessée et l’entraîne dans un monde qu’elle ne connaissait pas : la régression. Tous les quinze jours, cette maman de s’évade de ses obligations mais jusqu’où iront-ils ?

Une histoire érotique soft et à rebondissements, avec un clin d’oeil aux mamans isolées.

Franck est un célibataire en recherche d’une compagne pour refaire sa vie. Il indique clairement qu’il a des attirances pour deux fétichismes, l’ABDL mais surtout les littles et le monde de la fessée. Le rôle du daddy lui plait même si parfois, il ne lui déplairait pas de switcher un peu.

Après avoir fouiné et rêvé sur Abkingdom, où le côté « fessée » de son annonce semblait gêner, il s’est orienté vers Fessestivites, un site plus généraliste. Un soir, au hasard d’un post sur le forum, il décide de prendre contact avec son auteur. Une maman se plaignant du manque de transparence de beaucoup d’hommes sur les sites de rencontres.

Leurs discussions démarre donc sur un tout autre sujet que la fessée et les fétichismes. Comme dans tout échange de ce type là, on parle de soi, de sa vie puis de son passé.

Lydia apprend donc que Franck a un enfant âgé de 12 ans d’un premier mariage, il l’adore mais comme sa vie de commercial ne lui permet pas d’avoir une garde partagée, il ne peut le prendre qu’un week-end sur deux et la moitié des vacances.

De son côté, Lydia a deux garçons, un de 12 ans et l’autre de 14. Elle les élève seule et ne parvient pas à vivre sa vie de femme. En effet, pour s’en sortir, elle cumule les heures supplémentaires et quand elle rentre chez elle, c’est pour s’occuper de sa famille. Leur père les prend un week-end sur deux, ou plutôt, le devrait, car il a souvent de « fausses bonnes mauvaises excuses ».

Après ces échanges, ils se dévoilent un peu plus. Oui elle a mit « fessée » dans ses fétichismes préférés, ce monde l’ayant toujours séduite. Son expérience dans le domaine est malgré tout limitée, elle a pu croiser deux fesseurs, l’un ne rêvant que de la sauter, l’autre en couple profitant que sa femme était absente pour l’inviter chez lui. Si elle a beaucoup apprécié le petit scénario qu’il avait organisé, et la fessée qui allait avec, Lydia n’a pas donné suite car en revenant des toilettes elle est passée par la salle de bain et a découvert deux brosses à dent, du maquillage et un peignoir féminin derrière la porte.

Ce n’est pas qu’il soit marié qui l’a mise en colère, c’est qu’il lui ait menti sur son statut. Si une femme quitte le domicile conjugal, en règle générale elle prend sa brosse à dent, son maquillage. Elle aurait pu continuer de jouer de temps en temps avec lui, s’il n’avait pas menti.

Sentant que Lydia était encore suspicieuse sur son célibat, pour la rassurer Franck, lui donne son numéro de téléphone fixe.

  • Tu peux appeler quand tu veux pour discuter fessée ou autre, sauf quand j’ai mon fils, cela me gênerait ! Lui indique Franck.

Cet argument conforte Lydia dans ses impressions. Pour lui proposer ça, c’est qu’il est bien célibataire. Hélas, si elle apprécie cette transparence, elle ne peut pas vraiment lui proposer la même chose. Outre les obligations d’une mère le soir, l’ordinateur familial qui est dans le salon, ne lui permet pas de surfer discrètement. Et encore moi téléphoner. A 12 et 14 ans, ils ont les oreilles qui traînent. Elle lui indique qu’elle ne peut surfer que quand ils ne sont pas là et que leur père les a pris pour son week-end ou alors le soir dans sa chambre sur son mobile. Elle peut avoir un appel mais cela la gêne de parler « cul » en murmurant comme si elle faisait une bêtise.

Franck lui propose alors que cela soit elle qui l’appelle les week-ends où elle est libre et d’essayer de les coordonner avec ses week-ends de garde. Ainsi, ils pourront se parler, et peut-être un soir aller dîner dans un restaurant.

Les échanges entre eux deviennent plus directs, plus fréquents, ils s’attendent le soir pour échanger quelques mots. Lydia regarde de moins en moins la télévision, cela lui permettait de se détendre tout en gardant un oeil sur les surfs de sa progéniture. Une complicité entre eux voit le jour, la nuit.

LE WEEK-END EFFET KISS COOL

Ils parviennent enfin à se coordonner pour avoir un week-end de libre. Franck lui propose de l’inviter à dîner le vendredi soir au restaurant. Lydia accepte bien volontiers cette invitation.

  • La table est réservée au nom de Franck Duroc au Petit Galopin, le premier arrivé s’y installe et attend l’autre, je fais l’impossible pour y être pour 20 heures. S’il n’y a pas d’embouteillage, j’y serai avant toi. Lui indique Franck.

Pour être à l’heure et ne pas la faire attendre, il annule son dernier rendez-vous, prend un bouquet de roses et parvient à arriver en premier. Au restaurant, on lui prête un vase pour ses fleurs qu’il pose directement sur la table. A son arrivée dix minutes plus tard, Lydia se décompose. Si discrète de nature, elle est convaincue que tout le monde sait qu’elle a un rendez-vous galant.

  • Tu es fou, tout le monde nous regarde ! Lui dit Lydia un peu en colère.

  • D’habitude, quand on t’offre des fleurs, il est de tradition de remercier, pas d’engueuler celui qui te les offre. Cela pourrait aussi être pour ton anniversaire et tu pourrais être ma soeur. Arrête de « psychoter » ou tu t’exposes à une fessée devant tout le monde !

  • Pfffff

  • Et tu souffles en plus petite effrontée. Quand on rentre, une fessée, une couche et au lit ! Non mais !

Cette réponse de Franck la déstabilise un peu, surtout qu’il est très calme et que cela ne ressemble pas à de l’humour.

  • La couche, je ne connais pas, j’ai jamais essayé ce genre de chose ! Répond Lydia pour se donner une contenance en essayant de détourner la conversation.

Un double effet « Kiss Cool » a lieu à ce moment là. Les yeux dans les yeux, ils se regardent en se jaugeant avec, en même temps, une profonde envie de s’étreindre. Lydia ressent l’autorité naturelle de Franck, à la fois rassurante et un peu inquiétante.

  • Si tu as été sage aujourd’hui, je te laisse choisir ton menu ! Lui indique le séducteur avec un clin d’oeil.

C’est donc sur le ton de l’humour que démarre la soirée au champagne. De toute évidence ils se plaisent mutuellement, il y a déjà une sorte de complicité entre eux dues aux échanges privés sur Fessestivites puis au téléphone.

  • Tu plaisantais quand tu disais une fessée, une couche et au lit ?

  • Oui et non, ce jeu de régression dite punitive m’amuse !

  • Tu es quand même un peu tordu toi comme coquin !

  • Oh tu sais, la vie ne nous fait pas de cadeau, il n’y a pas de mal à se faire du bien et à jouer de petits délires. As-tu déjà essayé la couche comme jeu ?

  • Non jamais, d’ailleurs je ne comprends pas vraiment ceux qui aiment ça. Mais bon, à chacun ses plaisirs, si cela leur plait, ils peuvent même en mettre plusieurs !

  • Certains le font justement pour jouer à marcher comme des bébés avec les jambes arquées !

  • As-tu essayé toi ?

Un blanc se pose dans la conversation. Franck peine à avouer qu’il a effectivement essayé et que cela ne lui a pas déplu. Lydia le taquine en lui disant qu’il doit être beau en bébé Cadum. Le voyant rougir, elle continue ses provocations amicales en lui disant qu’elle lui donnerait la tétée et lui ferait même faire son rot, avant de le coucher avec sa totote.

  • Je ne suis pas un poupon et si tu continues comme ça, je te déconseille de m’inviter à prendre un dernier verre, sans quoi, je pourrai bien te donner une fessée !

  • A propos de dernier verre, avec mon ex on n’est jamais sûr de rien. Il pourrait très bien les ramener plus tôt sous prétexte qu’ils sont insupportables, j’aimerai autant éviter ce genre de situation.

  • Mais c’est quoi ce mec, il l’a déjà fait de ramener ses e n f a n t s la nuit ?

  • Oui, il était complètement bourré, c’est d’ailleurs à cause de la boisson que l’on a fini par se séparer. Quand il a bu, il s’en prend au premier venu et parfois devient méchant.

  • Une bien triste histoire que tu me racontes là. Je ne te poserai aucune question. Si un jour tu veux en parler, je serai à l’écoute mais parlons de choses plus gaies pour notre première rencontre.

  • Tu as raison, nous disions donc que si tu m’offrais un dernier verre chez toi, tu ferais quoi déjà ?

  • Je donnerai un fessée à la vilaine fille que tu es !

  • Des promesses, des promesses ....

La conversation tourne rapidement à la bagatelle, Lydia s’amuse, se lâche, revit sa jeunesse. Elle en arrive à oublier sa progéniture et sa routine de maman. La maman redevient un peu la gamine insouciante qu’elle était, il y a fort longtemps. Si bien qu’à la fin du repas, elle est un peu saoule, ce n’est pas de sa faute, le vin était si bon... En bon père de famille, Franck lui interdit de prendre sa voiture par mesure de sécurité. Il l’a ramènera après, si elle le désire. Dix minutes plus tard, ils arrivent à son petit pavillon, en galant homme il lui ouvre la portière de la voiture et la guide en son logis. A peine arrivé au salon, Franck s’assoit sur son canapé et la culbute sur ses genoux.

  • Nous allons voir si c’était une promesse, petite effrontée !

D’un geste rapide, il soulève la jupe sage de la maman pour commencer à lui donner la fessée. Oh, elle ne fait pas bien mal, elle est de principe et sans même avoir déculottée la vilaine. Lydia se trémousse sous les petites claques puis, par provocation, pince la cheville de Franck. La réaction ne tarde pas, la petite culotte prestement baissée dévoile l’adorable fessier bien conservé et à peine rose. Par principe et jeu, elle crie non, vilain, pas beau donnant ainsi à son fesseur de bonnes raisons d’augmenter la puissance des claques. Bien que cette fessée soit très modérée, les délicieuses fesses commencent à rougir. Leur propriétaire s’extasie, « humm que c’est bon un vrai homme pense t’elle ».

Voyant que le plaisir est au rendez-vous, Franck fait durer la fessée, et, entre les cuisses, par le petit creux, s’aperçoit que le sexe glabre commence un peu à couler. Il est heureux, pas de taper sur un cul, mais de parvenir à enchanter les sens de la belle maman. Lorsque l’épiderme commence à devenir réellement écarlate, décidant que cela suffira pour ce soir, le fesseur s’arrête et pose simplement sa main sur les fesses brûlantes. Ce simple contact électrise Lydia et déclenche sa jouissance. En voyant les jambes de la maman se mettre à trembler, Franck est aux anges, il a réussi à la faire décoller. Il faut dire que du plaisir physique, la maman n’en avait pas eu depuis bien longtemps.

Entre la fatigue, les émotions, sa jouissance et le vin, Lydia se met à pleurer quand il la prend sur ses genoux pour le câlin consolateur après fessée. Lovée dans ses bras auxquels elle s’accroche, elle finit pas murmurer un timide « merci ». Il lui répond par un baiser sage sur le front et une étreinte paternelle.

  • Je crois que tu vas devoir dormir ici, tu n’es pas en état de conduire. J’ai préparé la chambre de mon fils au cas où tu viendrais finir la soirée à la maison.

  • Tu as raison daddy, je ne me sens pas en état de conduire vilain, méchant, pas beau !

  • Bon, et bien puisque tu te conduis en gamine, ce sera une couche et au lit et ne discute pas ou je te redonne une fessée !

  • J’ai pas besoin de couche, je suis une grande !

  • Si et j’ai pas envie que tu mouilles le lit de mon fils, j’aurai du mal à lui expliquer pourquoi son matelas est taché !

  • Si j’en mets une, la prochaine fois, tu en mettras une aussi, ou alors je m’en vais !

  • D’accord, d’accord ! Répond Franck sans imaginer une seconde qu’elle n’oubliera pas cet accord.

Portée dans la chambre du fils de Franck, Lydia se sent toute petite dans ses bras. Abandonnée une minute, le temps qu’il aille chercher une couche, elle observe cette chambre remplie de maquettes de toute sorte. Lorsqu’il revient dans la chambre « armé » d’une grosse protection, Lydia fait un « noooon » de désespérée car les « chaleurs » dues à l’excitation de la fessée se sont envolées.

  • Il n’y a pas de non qui tiennent, on l’a dit, on le fait et puis, comme tu joues la gamine ce sera la suite de ta punition !

Attrapée par les chevilles, Lydia est tirée aux pieds du lit. Il soulève les jambes et lui retire la jupe et culotte. Par réflexe de pudeur, elle met la main sur sa moumounette, réflexe bien inutile car elle ne pourra pas y rester pour qu’il finisse de lui mettre sa couche. Par respect de sa pudeur, Franck ne s’attarde pas à observer l’intimité quand il écarte la main protectrice. Prestement rabattue et fixée, la protection cache le temple de la fécondité. Très gênée d’être ainsi vêtue en bas, elle baisse la garde et le laisse finir de la dévêtir. Le drap et la fine couverture prestement tirés deviennent rapidement un rempart pour sa féminité.

Franck prend l’initiative de monter sur le lit et de s’allonger contre elle pour la serrer dans ses bras comme il l’a fait des années auparavant avec son fils. Du bout des doigts, il caresse le visage de la belle en murmurant des mots apaisants. Contenant son envie de l’embrasser comme si elle était une adulte, il lui souhaite bonne nuit et va se laver les dents avant d’aller se coucher. A peine a t’il éteint la lumière qu’elle se lève pour venir taper à la porte de sa chambre.

  • J’ai peur daddy dans le noir, je peux venir me coucher dans ton lit ?

  • Oui, aller vient, mais on ne fera pas ça tous les soirs, c’est juste pour que tu t’habitues à ta nouvelle maison ! Plaisante Franck.

  • Je pourrai revenir alors ?

Cette demande n’est pas anodine, ni un jeu. C’est une forme de déclaration, visant à lui indiquer qu’elle aimerait bien que cela ne soit pas qu’un One-Shot et histoire de délirer un soir entre adultes. En guise de réponse, Franck la serre très fort dans ses bras et c’est tout, il ne souhaite pas qu’elle s’imagine qu’il ne pense qu’au sexe.

Le paradoxe féminin est qu’elle n’aurait pas aimé qu’il cherche à lui faire l’amour le premier soir, et en même temps, ce n’est pas l’envie qu’il lui manque de « concrétiser ». Cela lui aurait donné une image de « Marie couche-toi là », chose qui l’a bloque dans son désir de lui sauter dessus. Rattrapée par la fatigue, Lydia ne tarde pas à sombrer dans les bras de Morphée à défaut de ceux de Franck. Il est trois heures quand un besoin naturel se manifeste et la réveille. Lydia décide de se lever pour se rendre aux toilettes. Happée par un bras ferme, elle est remise au lit manu militari.

  • Il faut vraiment que j’aille faire pipi !

  • Non, tu as une couche c’est fait pour ça !

  • Non, pas ça, je peux pas faire ça !

  • Mais si tu vas voir ! Lui répond Franck en lui faisant des chatouilles.

  • Non salop, non ..... non, stop je vais ....

Et ce qu’il devait arriver, arriva ! Lorsqu’il sent qu’elle se relâche et arrête de se débattre, les chatouilles se transforment en câlins pour l’accompagner dans ses mixions. C’est ainsi que, malgré la honte, Lydia découvre que le pipi couche ce n’est pas désagréable, bien au contraire. Par principe elle refuse de lui avouer et lui annonce les pires représailles, en le traitant de vilain pas beau. La jambes et le bras de Franck posés sur elle, l’empêchent de se lever pour aller retirer la protection. Sentant qu’il est inutile d’essayer, la maman perturbée se love contre son « daddy ».

Le matin, lorsqu’il se lève pour aller préparer le petit déjeuner, en petit coquin Franck passe par la chambre de son fils pour cacher les vêtements de Lydia. Vêtue simplement d’une couche avec les mains sur sa poitrine qu’elle essaye de cacher, elle arrive toute honteuse à la cuisine au moment où, il allait lui apporter un plateau avec des croissants chaud passés au four.

  • Tu es vraiment vilain toi ! Déclare Lydia un peu en colère.

  • Ah, un daddy qui prépare le petit déjeuner au lit avec des croissants chauds, c’est un vilain ?

  • Non, tu vois ce que je veux dire ! Répond Lydia en désignant sa couche du regard.

  • Mais tu es trop mimie comme ça, tu sais, la couche ce n’est qu’une grosse culotte, d’ailleurs sur toi, cette taille fait presque l’équivalent d’un short !

  • Je veux un bisou et un gros câlin pour que tu te fasses pardonner et que tu me rendes mes vêtements !

  • Ils sont simplement bien rangés dans la salle de bain, je me suis dit que tu aimerais sûrement prendre une douche. Enfin, si tu es une grande fille, c’est ce que tu devrais faire. A moins que tu ne préfères que je m’occupe de ta douche ?

  • GRRRR ! Fait Lydia en s’approchant de lui pour un gâté.

.................

La douche, Lydia l’a prise seule, comme une grande, avant de prendre le petit déjeuner. Inquiète à cause des réactions de son ex qui aurait très bien pu ramener les enfants pendant la nuit, elle lui demande de la déposer à sa voiture, pour qu’elle puisse rentrer chez elle. Franck voit le week-end câlin s’envoler mais comprends que pour une mère, sa progéniture passa avant tout.

Il ne fait aucune réflexion, aucun reproche et se contente de lui répondre « bien sûr ma puce, c’est normal que tu t’inquiètes ». Et c’est ainsi que ce termine leur première rencontre.

Pendant quinze jours, ils continuent d’échanger des messages sur Fessestivites, Lydia a trop peur que son fils, qui utilise parfois son téléphone, tombe sur des textos non effacés. Pendant ces deux semaines, leurs liens se r e n f o r c e n t encore, et Lydia n’a pas oublié qu’elle doit « se venger ». Venger est un bien grand mot, c’est aussi de l’amour que de chercher à jouer avec les plaisirs coquins de l’être aimé, même s’ils sont un peu honteux.

Et puis comme chacun sait, quand une femme a une idée derrière la tête, elle n’est ni dans la couche, ni ailleurs.

CHAPITRE DEUX

Lydia et Franck brûlent d’impatience de se retrouver. Les deux semaines furent longues. Comme par hasard, Franck ne prit pas de rendez-vous le vendredi après 16 heures, outre le fait qu’elle lui manquait déjà, il ne tenait pas à reproduire les erreurs du passé, après tout, sa société ne coulerait pas si il vendait une chambre froide de moins cette semaine là. Lydia quant à elle, pria le seigneur des familles pour que son ex assure son week-end de garde des e n f a n t s et ne la « plante » pas au dernier moment.

Il était convenu qu’ils se retrouvent au même restaurant, facile à trouver et avec un parking, ils ne perdraient pas de leur précieux temps, à chercher une place pour se garer. Ils trouvèrent cette fois, que le service était fort long même si, les sujets de discussions ne manquaient pas. Cette fois, ils partent à deux voitures pour se rendre chez Franck, Lydia a été raisonnable et ne s’est pas faite piéger par le champagne et le vin pourtant sublime.

La porte du pavillon à peine fermée, Lydia ne peut contenir ses envies de l’étreindre, de se lover contre lui. Le sac à main encore accroché à son épaule, serrée dans les bras de Franck, ses yeux mouillent d’émotion, son coeur s’emballe. Cette fois, il ne lui fait pas un bisou sage de daddy, il pose ses lèvres sur celles de la belle qu’il a envie de croquer là, tout de suite dans l’entrée de la maison. Ce n’est pas une envie de sexe qu’il éprouve, c’est une profonde envie d’Amour avec un A majuscule.

Lydia n’oppose aucune réfutation à cette audace cavalière, elle enroule ses bras autour du cou de Franck pour le serrer encore plus. Les langues s’emballent, s’enroulent comme des serpents à la saison des amours. La première fusion de leurs corps dure longtemps, tant ils se noient littéralement dans le bonheur de ces retrouvailles. Pour le don Juan, ce baiser est une invitation à poursuivre les câlins, ses mains s’aventurent sous le chemisier où le simple contact avec la peau nue et douce l’électrise.

  • Tut, tut, je te rappelle que nous avons un deal ! Lui indique Lydia en le coupant dans ses caresses.

  • Plait-il la belle ?

  • Que m’as-tu fait il y a quinze jours ?

  • Je t’ai donnée la fessée que tu méritais !

  • Et puis ?

  • Et puis je t’ai mis une couche avant de te mettre au lit, mais ce soir c’est différent, tu as été sage.

  • Oui mais toi non. Je suis sûre que tu as trop bu pour conduire, même si tu as été raisonnable. Le deal était que si je me laissais faire pour la couche, cette fois ce serait toi le petit garçon pas sage qui mérite d’être puni. Tu as accepté, et ne me dis pas que tu oserais remettre en cause ton engagement, ce serait fourbe de ta part.

Piégé à son propre jeu, Franck perd pieds et se met à rougir. Il essaye de repousser l’échéance à une autre fois, en vain, la belle est bien une femme à qui on a fait une promesse. Le sentant faiblir elle l’attrape par la main pour le guider jusqu’au canapé où elle s’assoit. Sans aucune hésitation, elle attrape la ceinture de son pantalon pour l’ouvrir, ouvre le bouton et d’un seul mouvement le baisse en entraînant le slip en même temps. S’il n’est pas pudique de nature, se faire déculotter ainsi le perturbe fortement. De bonne grâce il s’allonge sur les genoux de Lydia bien décidée à lui donner une fessée.

  • Tu as de très jolies fesses, quel dommage que je sois obligée de les claquer, je préfèrerai les caresser comme ça .... Indique Lydia en les caressant avec ses ongles.

Très perturbé Franck ne sait plus s’il doit savourer la caresse ou pas, car il trouve la situation très gênante. Sans lui laisser le temps d’analyser la situation, certes particulière, elle commence à le fesser en lui disant qu’il a été un très vilain garçon. Les claques sont en réalité de petits soufflets, presque des caresses. Au fur et à mesure qu’elle le fesse, elle lui explique qu’une promesse doit être tenue et, que ce n’est pas bien qu’il ait essayé de se soustraire à son engagement. La main se fait un peu plus lourde, Franck commence à couiner, à dire que ça fait mal, elle en rigole en le traitant de chochotte.

  • Tu sais que c’est la première fois que je donne la fessée à un homme ?

  • Non, je ne savais pas, mais cela semble t’amuser que de me martyriser.

  • Te martyriser ? Oh le menteur, qui a écrit switch sur son profil ? Il a fallut que je « gogoolise » pour en comprendre le sens. Alors que je cherche à te faire plaisir tu râles ? Cela mérite une deuxième fessée ! Conclue Lydia en recommençant à le fesser plus durement.

Une femme cela a des ongles longs, et ces ongles quand ils griffent gentiment les fesses qui viennent d’être fessées, cela fait des « choses ». Lydia prend son temps et savoure l’instant qui commence à l’émouvoir. Sous ces attouchements coquins, Franck ne reste pas de marbre. Il commence à baisser sa garde masculine et à bien apprécier d’être « la chose » de cette merveilleuse femme, s’avérant pouvoir être très coquine et un brin perverse.

  • Bien. Si ma mémoire ne me joue pas des tours, il y a quinze jours tu m’a dis, une fessée, une couche et au lit. Moi je vais rajouter quelque chose que tu vas adorer. Alors on va se lever, aller dans ta chambre et tu vas me donner une couche pour commencer !

  • On est obligé de mettre la couche ?

  • Oui, sinon tu n’auras pas ta surprise et je dormirai dans la chambre de ton fils !

Cette discussion ayant lieu alors qu’il est toujours couché sur les genoux de Lydia, Franck ne s’aventure pas à réfuter même si il est très gêné. Lorsqu’il se relève, elle lui indique qu’il est inutile de refermer son pantalon et que le remonter suffira. Arrivés dans la chambre, elle lui demande de lui donner une couche en ajoutant « au pas de course ». Franck s’exécute et lui en donne une presque avec regret, alors que dans ses petits délires intimes, cette situation a souvent été fantasmée. En maman expérimentée, elle le déshabille en un rien de temps, le pousse sur le lit pour lui mettre sa protection. Soulever ses reins pour qu’elle la glisse sous ses fesses expose grandement son intimité qui, malgré la gêne n’est pas totalement « au repos ». Prestement attrapée, la quéquette est repliée entre ses cuisses et, hélas, confinée malgré ses désirs d’homme.

  • Puisque tu as enfin décidé d’être sage, tu vas avoir ta petite surprise ! Lui indique Lydia en retirant son chemisier et son soutien-gorge sous les yeux envieux de Franck.

Elle monte sur le lit sans retirer sa jupe pour installer les coussins à la tête du lit et y prendre place.

  • Allez bébé, c’est l’heure de la tété ! Viens t’allonger sur mes genoux, tu as de la chance que je n’ai pas de biberon, sinon je te l’aurai donné !

Initialement Franck est DL, la régression n’est pas son truc. L’appel de cette poitrine généreuse est bien plus fort, que ce détail qu’est le choix entre être AB ou DL. Après s’être allongé comme un bébé pour la lactation, c’est avec un plaisir non dissimulé qu’il se met à suçoter le téton émergeant au centre de l’aréole rose. Sa première tété d’adulte le perturbe. Il aurait préféré les suçoter et les mordiller, comme un adulte faisant l’amour à sa femme. Au point où il en est, le don Juan baisse la garde et se laisse guider même si, dans sa couche, c’est une véritable révolution, avec une quéquette repliée ne pouvant sortir sa banderole de manifestante.

Pendant cette tété, Lydia caresse son visage avec une extrême douceur, cela lui rappelle sa jeunesse et ses e n f a n t s. Ces doigts donnent de l’amour en caressant ses joues. Ses yeux brillent pendant ses caresses devenant émouvantes. L’envie qu’avait Franck d’arracher la couche pour croquer la belle, s’apaise avant de disparaître totalement dans la magie de cet instant.

  • Je vois que mon bébé se laisse aller, c’est très bien, il va pouvoir s’endormir et rêver à demain. Mon ex a décidé d’emmener les e n f a n t s en week-end à Disneyland, ce qui signifie que je peux rester avec toi tout le week-end. Peut-être que si tu es très sage cette nuit, demain tu pourras jouer au grand avec maman....

Une telle promesse ne peut pas aider un don Juan à s’endormir ! Le dialogue silencieux des yeux en dit long sur la fusion des âmes, de ces deux être délirant sur la régression. Sans cette avalanche d’amour et de tendres caresses, Franck commence à sombrer dans une douce léthargie. Un long moment plus tard, quand Lydia le pousse pour le coucher, c’est à peine s’il ouvre les yeux par peur de casser son rêve d’Amour.

La maman se lève pour aller « aux urgences » avant de revenir se coucher et se lover contre son grand bébé qui, elle le sait, demain la croquera.

.......................

Bien décidée à lui rendre la monnaie de sa pièce, au petit matin elle ne dort que d’un oeil. Si bien que quand il se lève, elle bondit du lit pour lui interdire de retirer sa couche. Elle fait pire, elle l’accompagne à la cuisine pendant qu’il prépare le petit déjeuner. Franck est très gêné de n’être vêtu que d’une couche « pendante » entre ses cuisses. En parfaite garce, Lydia ne se prive pas de commentaires.

  • On a bien fait de mettre une couche à mon petit pissou, après il faudra aller le doucher !

  • Ma puce, tu n’es pas obligée de continuer de me martyriser !

  • Si j’ai bonne mémoire, il y a quinze jours tu m’as interdite d’aller retirer la couche tant que nous n’avions pas pris le petit déjeuner. Le deal est jusqu’au bout sauf que j’aurai une surprise pour toi, après évidement, que le bébé ait bu tout son lait.

  • Tu sais que je te déteste là ?

  • Et bien moi je t’aime !

Après cette réponse venue spontanément du fond du coeur, le silence se pose. Les yeux se sondent, se mettent à briller. Le silence dure, il pourrait être pesant mais les visages souriants affichent un tel bonheur qu’ils le rendent très léger.

  • Moi aussi ! Répond Franck avec la gorge aussi serrée que celle d’un ado déclarant sa flamme pour la première fois.

Ils sont tellement émus tous les deux, qu’aucune parole n’est échangée pendant le petit déjeuner. Les sourires et les regards se suffisent à eux même.

  • Laisse tout, je rangerai plus tard ! Indique Lydia lorsqu’il pose son bol vide sur la table.

Attrapé par la main, il se laisse guider vers la salle de bain. Il n’a pas le temps de réfuter qu’elle lui pose le doigt sur la bouche. Lydia ouvre l’eau de la douche pour faire venir l’eau chaude puis lui retire sa couche saturée qu’elle replie et pose sur le bord du lavabo. Poussé sous la douche il est très gêné, cette gêne s’envole quand elle retire sa culotte pour le rejoindre. La savonnette n’oublie aucune partie du corps de Franck, même les plus intimes. Entre deux baisers, elle est suivie des mains douces enflammant les sens du beau mâle qu’elle meurt d’envie de croquer.

Ne pouvant jouer le rustre égoïste, et uniquement pour cette raison..... Franck récupère la savonnette pour lui rendre à son tour, les caresses moussantes. Le cumulus menaçant de rendre l’âme, les tourtereaux se sèchent à la va vite, pour retourner se coucher et faire la grasse matinée. (Coquine évidement).

Sous la couette, la fusion de ces deux être célibataires est totale. Ce n’est pas de la baise, c’est de l’Amour, les étreintes sont folles, endiablées, c’est presque comme si c’était à celui qui croquera le plus le corps de l’autre. A quarante ans, la pudeur sous la couette s’est envolée depuis longtemps, on mord la vie à pleine dents.

Il est presque midi quand, lovés l’un contre l’autre avec les cuisses et bras encore entrelacés, ils finissent par émerger. Pour continuer de s’aimer comme en secret, de se profiter pleinement, ils décident de commander des pizzas et de se faire livrer. Pendant le repas, ils commencent à aborder le sujet tendu : comment le dire aux enfants ?

Encore une fois, la morale judéo-chrétienne les perturbe. Pour Franck ce sera plus simple, c’est normal, c’est un homme, un soi-disant coureur de jupon. Pour Lydia c’est plus compliquée, que vont penser les gens d’une mère qui s’envoie en l’air avec un homme ?

  • Pourquoi une mère n’aurait-elle pas le droit de vivre sa vie de femme ? Pour refonder une famille, il faut bien qu’elle trouve un homme ! Un homme, cela ne se trouve pas dans les rayons des supermarchés. Le ciment d’un couple, c’est l’amour, et l’amour à nos âges, cela passe aussi par le dodo non ? Indique Franck agacé par les réponses attristées de Lydia.

  • Avec mon ex, cela va être compliqué !

  • Ah bon, il est devenu moine ou il vit sa vie ?

  • Il vit sa vie bien sûr, il a même trouvé une blondasse qui a l’air aussi conne que lui !

  • Ce n’est pas bien de critiquer ainsi sa nouvelle copine. Que dirais-tu si mon ex disait la même chose de toi ? Positive, regarde ce que la vie nous offre, c’est un nouveau départ pour nous deux. Je t’accompagnerai pour tout et moi, je prends la femme et les enfants. A nous deux, nous en aurons trois.

  • Nous n’allons pas un peu vite là ?

  • Si, nous allons évidement continuer de nous voir encore un peu comme ça, mais cela ne peut pas durer éternellement non plus. Je ne te presserai pas, chacun va à son rythme mais moi, ma décision est prise. J’attendrai que tu sois prête si tu veux de moi comme mari !

  • Tu es fou !

  • Oui, de toi depuis le premier dîner au restaurant. Et qui c’est qui a dit « je t’aime » en premier ? Conclu Franck en venant l’embrasser tendrement.

Pour changer un peu de menu, le soir ils recommandent des pizzas en changeant un peu les ingrédients. La pauvre Lydia a peur de l’avenir, Franck fait tout pour la rassurer, il ne manque pas d’amour, de tendresse, de mots justes et logiques. Sans s’en rendre compte, il a revêtu son costume de Daddy rassurant.

  • Je crois qu’une période de régression te ferait du bien, un peu comme si tu renaissais ! Qu’en penses-tu ?

En guise de réponse, Lydia lui tire la langue, cela suffit à franck pour justifier une fessée, une couche et au lit. La fessée est plus sensuelle qu’autre chose, pour la couche, elle n’oppose pas de réfutation, après tout, c’était bien agréable se dit-elle. Lydia sent que Franck mijote quelque chose quand il la met au lit et la couvre. Son sixième sens lui dit qu’il y a une embrouille, cela se voit sur son visage quand il prétexte avoir oublié quelque chose. Et elle ne se trompe pas ! Deux minutes plus tard, elle éclate de rire en le voyant revenir avec un biberon de lait à la main.

  • C’est celui de mon fils quand il était petit. Il t’aidera à t’endormir mon amour !

Lydia joue le jeu pour faire plaisir à cet homme si gentil avec elle, mais elle ne tarde pas à sombrer dans l’abandon du à la magie de l’instant câlin paternel. Elle se sent toute petite, c’est comme si, à travers ce biberon, sa couche et les bras protecteurs, elle était à présent protégée.

EPILOGUE

Lydia et Franck ont continué de se voir en secret pendant deux mois. Franck a eu l’idée de prendre des places pour aller voir tous ensemble, le Grand Prix de France de Moto. Bien qu’il ne soit pas fan de moto, les trois ados ne pouvaient qu’aimer cette sortie. Et son idée fut la bonne pour réunir tout le monde, car les enfants de Lydia l’adorèrent de suite. Le fils de Franck fut plus difficile, mais il finit par admettre qu’après tout, son père pouvait aussi refaire sa vie.

Nos tourtereaux envisagent de se marier quand la pandémie sera terminée.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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Je ne connais toujours pas la sensation du port de couche mais il est vrai que cela semble amener un plus à la domination ! Et cela est un jeu de plus ! Merci de nous faire réver ! Bonne continuation !
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